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Photo du rédacteurSébastien Le Maôut

Modèle théorique de la forme d’une entité énergétique

Dernière mise à jour : 1 juil. 2023

PERCEPTIONS SENSORIELLES & DÉCODAGE :

Malgré la pléthore de représentations figuratives des entités dans la culture populaire et les visions présentées par les différents praticiens et pratiquants tels que les médiums, les spiritualistes, les ésotéristes, les occultistes et les énergéticiens, rares sont ceux qui se posent la question de savoir à quoi ressemble réellement une entité.


La perception d'une entité est souvent altérée par un mécanisme naturel et instinctif inhérent à notre cerveau. Une entité étant un conglomérat d'énergies subtiles programmées par la croyance (dans le cas des entités non-humaines) ou par la constitution physique et mentale d'un défunt, sa forme est une information encodée dans l'énergie subtile, qui fait partie intégrante des charges/informations constitutives de l'entité. Ces informations sont captées par nos dégagements énergétiques personnels et perçues par nos perceptions extrasensorielles et notre intuition.


Notre cerveau traduit alors cette information grâce à notre référentiel culturel personnel, nous imposant une image reconstituée par notre mental, une sorte de transduction sensorielle. Cependant, certaines entités ont la capacité de provoquer des illusions en utilisant des informations qu'elles génèrent elles-mêmes afin de tromper le percipient (le receveur de l'information non-locale). De plus, il est possible que l'information captée soit mal interprétée par le mental, entraînant des collisions sémantiques formées par notre imagination active. Ceci s'apparente à une sorte de bug qui empêche de comprendre correctement l'information d'origine, rendant difficile la détermination de la véritable nature de l'entité.


Si un entraînement rigoureux permet de dépasser la perception de la forme, il existe toujours un risque d'être trompé. Par conséquent, en attendant l'invention d'une machine permettant d'éviter l'interprétation de l'information par notre cerveau, il est recommandé de maintenir le doute comme principe majeur de parcimonie et de critique. Veuillez cliquer ici pour découvrir les raisons pour lesquelles, à ce jour, aucune machine n'a été conçue pour détecter l'énergie subtile ou une entité.


Cependant, diverses hypothèses ont été proposées concernant les entités, et une théorie quant à leur forme réelle, indépendante des filtres perceptifs inhérents à notre système, a été élaborée. Ce modèle théorique est conforme à toutes les hypothèses formulées jusqu'à présent, en fonction des observations et des expériences menées par divers praticiens ayant bénéficié d'un entraînement énergétique intensif, incluant mes expériences personnelles et les études que j'ai menées.

Afin de développer une compréhension plus poussée des notions et concepts liés à ce modèle théorique, je vous encourage à consulter mon ouvrage intitulé "Les Mécanismes de la Pratique Magique", publié par les éditions Alliance Magique. Un chapitre est entièrement consacré aux entités, et j'y expose en détail la forme révélée par le schéma ci-dessous.

CONSTITUTION D’UNE ENTITÉ :

Il est important de souligner que le schéma présenté n'est pas une représentation exacte de la réalité, mais plutôt un code visuel conçu pour faciliter sa compréhension. En vérité, les différentes couches ne sont pas clairement délimitées et ne se superposent pas de manière linéaire, mais plutôt entremêlées et imbriquées les unes dans les autres. De même, la couleur n'a pas de place dans l'Énergie subtile, car elle ne représente qu'une charge d'image et n'a pas de réalité physique. En réalité, l'entité se présente plutôt sous la forme d'une sphère fluide, ondulante et de forme patatoïdale, située entre l'eau et le gaz.


Il est important de noter que toutes les couches internes sont disposées de la plus ancienne à la plus récente en partant du centre, une fois que la couche externe de charge structurelle, qui agit comme un contenant, a été franchie. Chacune de ces couches internes se comporte également comme si elle avait sa propre charge structurelle, qui influence la densité de l'Énergie subtile qui y est contenue.


La charge structurelle agit comme une membrane qui contient l'ensemble de l'entité. Elle fonctionne comme un réceptacle sphérique qui retient à la fois l'Énergie subtile et les charges programmées. Si la charge structurelle est détruite, l'entité est également détruite. C'est sa destruction assurée.

En guise d'illustration, on peut imaginer la charge structurelle comme un vase, tandis que les charges de programmation d'informations non-locales représentent l'eau et les fleurs qu'il contient. Si le vase est détruit, l'eau et les fleurs ne peuvent plus être retenues et perdent leur forme. De même, si le vase n'est pas rempli d'eau et de fleurs, il n'a plus de raison d'être. En d'autres termes, le vase est le contenant, tandis que l'eau et les fleurs en sont le contenu.

DESQUAMATION & PERTE D’INFORMATIONS :

Certains praticiens de l'énergie suggèrent que les attributions, ou couches de programmation de l'entité, peuvent se déliter si elles ne sont plus utilisées. Ils comparent ce phénomène à une desquamation, c'est-à-dire à une perte de couche de programmation, similaire à une perte de l'épiderme de la peau. Ces praticiens estiment que les couches moins utilisées disparaissent au profit des plus utilisées. En revanche, d'autres affirment que la desquamation n'est pas un processus naturel d'élimination d'attributs, mais plutôt qu'elle renforce les attributs actualisés. Cependant, le phénomène de desquamation sur la charge structurelle pourrait être mortel pour l'entité, car lorsque la charge structurelle disparaît, le contenu est dispersé et l'entité n'existe plus.


Cela étant dit, il est possible de concilier ces deux écoles de pensée. En effet, un phénomène de desquamation sur la charge structurelle peut se produire naturellement. Lorsqu'une entité est anathème, c'est-à-dire oubliée de tous, elle n'est plus alimentée en énergie (sauf si sa programmation la prédispose à devenir un vampire énergétique). Elle épuise ses réserves et se met dans un état de biostase, une sorte d'animation suspendue, pour économiser ses forces et durer le plus longtemps possible dans l'espoir d'être réactualisée un jour. Mais lorsque cela n'arrive pas, le processus de desquamation continue son cours jusqu'à la dispersion totale et définitive de l'entité. Il est important de ne pas confondre ce processus avec l'apoptose, qui est une mort programmée à une date d'échéance précise.


CHARGE STRUCTURELLE & PLANS « ÉNERGÉTIQUES » :

La charge structurelle de l'entité a pour principale fonction de maintenir l'intégralité de son énergie subtile ainsi que les programmations qui y sont inscrites. Cependant, elle remplit également un rôle crucial en permettant à l'entité de se déplacer. Étant constituée exclusivement d'énergie subtile, l'entité ne possède qu'une réalité de mouvement inhérente aux différents plans énergétiques, que certains ont nommés les plans de l'astral.


Ainsi, l'entité se déplace dans le plan de densité énergétique qui lui correspond, mais également au-delà. Dotée d'une semi-conscience inscrite dans sa programmation initiale, une entité évoluée est capable de passer d'une strate à une autre en modifiant son phénotype (ensemble de caractères observables) ainsi que sa charge directionnelle, afin de s'adapter aux différentes densités relatives aux plans de l'astral. Il est important de noter que les entités les plus faibles, telles que les larves astrales, ne peuvent se mouvoir que dans le plan le plus proche du nôtre.


De cette manière, il est possible d'expliquer pourquoi une entité évoluée, telle qu'une divinité, ne se déplace que rarement en entier dans notre plan ou dans le plus proche du nôtre. Elle a plutôt tendance à étirer une partie d'elle-même qu'elle condensera progressivement en fonction des strates de densité de l'astral, ou encore à envoyer un avatar, une sorte de serviteur auto-généré, qu'elle réabsorbera une fois la mission accomplie. Cela explique également pourquoi certaines traditions ont suggéré que l'entité envoie parfois une entité inférieure à elle-même, restant à ses ordres.

Chaque strate dans les plans de l'Astral agit comme une couche de programmation au sein d'une entité et possède une densité ainsi que des informations non-locales uniques, créant des biotopes distincts pour différents niveaux et types d'entités, tel que démontré dans le schéma avec la bille. Pour se déplacer d'une strate à l'autre, une entité doit modifier sa densité et répartir ses charges en conséquence pour percer la strate d'un plan de l'Astral. Ce processus peut être comparé à la théorie de la relativité générale et de la force centrifuge et de gravité par rapport à la masse pour la rotation sur elle-même. En effet, la charge exerce une force supérieure à la masse de l'énergie ainsi qu'à son inertie. En l'absence de perturbations gravitationnelles, elle peut parcourir une distance infinie simplement par impulsion/intention. La charge ne se libère qu'en échangeant un potentiel contre un autre, car l'énergie est une différence de potentiel. Les charges sont intriquées et non soumises à l'espace-temps, non-locales et non-causales. Elles évoluent à la fois comme une onde et comme une particule, dans un champ holographique, leurs déplacements étant instantanés, provoquant ainsi l'illusion de leur mouvement. Il convient de souligner que, bien que ces strates/couches puissent être considérées comme des plans distincts d'un point de vue perceptif, il s'agit plutôt d'une manière théorique (à la manière d’une vue de l’esprit) de les conceptualiser pour faciliter leur compréhension. En effet, la charge structurelle se diffuse et se répartit plutôt qu'elle ne se tisse comme une toile d'araignée. Elle peut plutôt être comparée à une trame de fond.

Laissez-moi imager de nouveau pour faciliter la compréhension :
Considérons le plan énergétique de l'Astral comme un récipient rempli d'eau. Les différents plans, qui se caractérisent par des densités ou intensités vibratoires distinctes, semblent se superposer à l'image de l'huile et de l'eau, qui ne possèdent pas la même densité. L'huile, tout en repoussant l'eau, ne se mélange pas à elle, ce qui donne l'illusion que l'eau a augmenté de volume, alors qu'en réalité, sa quantité reste la même. Le principe est similaire pour une entité, que nous pouvons imaginer se déplaçant dans un verre d'eau rempli de bulles pour atteindre le plan de densité correspondant à sa propre densité. Comme les bulles d'air ou de gaz sont beaucoup plus légères que l'eau, elles ont tendance à remonter vers la surface et à la traverser, en quelque sorte. C'est ainsi que l'entité doit posséder une force suffisante pour percer la surface de la charge structurelle du plan astral et se densifier, afin d'évoluer dans le plan de densité qui correspond à sa propre densité. Ce processus est donc similaire à celui de la remontée de bulles dans un verre d'eau et repose sur des mécanismes naturels. C’est ce que l’on nomme la pression osmotique.

RÉPARTITION DES CHARGES :

Comme le montre le schéma ci-dessous, les différentes couches superposées dans l'Énergie subtile sont en réalité des rassemblements d'informations homogènes et complémentaires qui modifient la densité de cette dernière. Paradoxalement, la densité elle-même est une information, ce qui permet à chaque couche d'être quasi-autonome dans son fonctionnement, comme les couches de l'aura qui peuvent varier en taille, se réduire ou s'amplifier en fonction des interactions avec des Énergies externes. Ce principe de base est celui de la Forme-Pensée, qui résulte de la répétition d'une même idée (symbolisée par les petits points colorés) attirant naturellement d'autres points similaires pour s'organiser en un modèle serrure/clé, également appelé effet diapason.


Bien entendu, plus une idée est répandue et impactante, plus elle requiert d'Énergie subtile pour se propager. C'est ce que l'on appelle un conglomérat d'Énergie. Dans le cas de la Forme-Pensée, qui est souvent non-intentionnelle, elle met du temps à s'organiser mais suit une évolution naturelle pour se structurer avec une charge structurelle. Cependant, les mécanismes permettant à cette structure de se former naturellement et de créer un ersatz de charge structurelle demeurent pour l'instant un mystère, qu'on nomme l'auto-organisation des charges, similaire à la néguentropie et à la syntropie.



Ces charges, qui interagissent les unes avec les autres, créent une tenségrité, c'est-à-dire une structure polyvalente et architecturale dans l'information répartie dans l'Énergie. À ce jour, aucune règle orthonormée n'a été trouvée pour expliquer leur fonctionnement.


En suivant le schéma présenté, il est clair qu'une charge qui persiste dans le temps et qui est adoptée par un grand nombre de croyants aura de l'importance et de la consistance. En revanche, les charges récentes et/ou soutenues par un nombre limité d'individus (comme la charge n°3 de couleur jaune que vous pouvez observer plus bas) ne pourront pas rivaliser avec les charges plus massives. Cela entraînera des erreurs dans la programmation de l'entité. Toutefois, il convient de souligner que la densité de l'Énergie subtile ne doit pas être confondue avec sa quantité. Pour illustrer cela, la densité est plus proche du poids que de la taille. Ainsi, une entité dense comme les larves est la plus élémentaire et archaïque car elle est la plus proche de notre plan, tandis qu'une Divinité possède une densité légère mais une quantité d'énergie beaucoup plus importante qu'une larve. Tout est question de subtilité.

RÉMANENCE & EMPREINTE ÉNERGÉTIQUE :

Comme il a été observé, la charge structurelle, qui condense et retient l'Énergie, ne peut empêcher les pertes d'émanation naturelle. Cette dernière représente une partie de l'Énergie qui s'échappe continuellement de la charge (telle que démontrée dans le schéma ci-dessous, où les points plus denses représentent la charge structurelle, tandis que les points plus petits et plus espacés symbolisent l'émanation/déperdition). Cette zone de déperdition, souvent appelée périsprit ou couches supérieures de l'aura, est constituée du dégagement de l'entité ou de l'être humain, représentant une empreinte de leur signature énergétique (ichnogène) ainsi que de leurs déchets énergétiques ou de ce qu'ils ou elles accumulent. Ces pertes peuvent se déposer sur d'autres Énergies extérieures à l'entité, nous permettant ainsi de retracer une entité, une personne ou encore une Énergie subtile quelconque, phénomène appelé rémanence énergétique.


Bien que ce phénomène soit appelé déperdition, il est en réalité incomplet. En effet, grâce à l'effet Vavikov-Teherenkov, l'information en migration crée comme une onde de choc sur son passage, qui va charger l'Énergie. Cette situation donne l'impression que l'information a laissé une trace dans son sillage, tel une déperdition. Il s'agit d'une propagation de charge qui suit trois principes conjointement : le principe d'action-réciproque (l'information se propage sans que l'énergie ne se déplace, principe observé en rituel et dans une Énergie dense), le principe de contamination (une information va en contaminer d'autres sans que l'on en connaisse encore la raison) et le principe de projection (envoi d'énergie programmée volontairement vers une cible).


FORMER L’(IN-FORM)ATION :

À partir de ces observations, il est légitime de s'interroger sur la possibilité d'imposer une forme particulière à un amas d'Énergie subtile grâce à sa charge structurelle. La réponse est affirmative, mais cette forme ne peut être maintenue que pendant une durée très limitée, allant jusqu'à quelques secondes dans les meilleurs des cas. Pour prolonger cette forme, il est nécessaire de renouveler en permanence la charge structurelle, ce que l'on réalise, par exemple, à l'aide de cercles de protection en magie et sorcellerie. Si cette charge n'est pas renouvelée, la pression du plan de densité dans lequel elle évolue la ramènera rapidement à sa forme patatoïdale.


En cas de décès, le corps matériel se désagrège, libérant l'Énergie subtile qui contient notre ego (pas encore dissous) ainsi que des réminiscences de notre vécu (des souvenirs marquants de notre existence, que certains nomment Mémoires). Dans les jours qui suivent la mort, il est possible de constater que l'esprit du défunt conserve sa forme corporelle (sans vêtement ni artifice, bien entendu) telle qu'elle était avant le décès. Cela s'explique par le fait que l'Énergie subtile, qui est incarnée tout au long de notre vie, conserve en elle la forme du corps pendant une durée plus longue que si nous imposions une forme à notre Énergie pendant quelques minutes seulement. Toutefois, comme toutes les charges structurelles, celle-ci reprendra rapidement sa forme patatoïdale au fur et à mesure de sa dissolution vers d'autres plans énergétiques de l'Astral.


Il est possible de modifier temporairement sa propre charge structurelle. C'est notamment ce que l'on réalise avec l'exercice de renforcement d'aura en la lissant comme un œuf autour de nous. De même, il est possible que notre charge structurelle prenne des formes particulières de manière inconsciente et non intentionnelle, telles que des moignons ou des tentacules auriques chez les vampires énergétiques inconscients, qui les utilisent pour vampiriser. De même, les liens énergétiques que nous créons avec notre entourage sont également une déformation inconsciente de notre charge structurelle ou établis consciemment lors d'un envoûtement, par exemple. Il convient de rappeler que la charge structurelle de notre émanation aurique est soumise à la pression de la densité du plan énergétique correspondant.


Ainsi, il est possible de mieux appréhender le mode opératoire d'une fuite ou d'une fissure aurique. Si une partie de la charge structurelle est altérée, par exemple avec un athamé, cela aura pour conséquence un écoulement libre de l'Énergie subtile similaire à une hémorragie. Il sera donc nécessaire de recourir à diverses techniques pour restructurer la charge structurelle endommagée afin de colmater rapidement la brèche. En effet, le processus de cicatrisation naturelle est très lent, ce qui peut provoquer une perte de vitalité. Dans le cas d'une entité, la cicatrisation est tout aussi lente, mais si la charge structurelle est détruite entièrement, comme dans le cas d'une explosion, elle se dissoudra instantanément sans possibilité de reformer la structure.


USAGES & UTILITÉS :

Le présent exposé traite d'un sujet complexe et vaste, qui touche à la nature de l'information non-locale, assimilable à de la matière in-créée. Toutefois, en raison de l'absence de connaissances sur la nature réelle de cette information, nous sommes contraints de considérer le mécanisme de manière superficielle. Ce domaine est un pan entier de l'énergétique qui s'ouvre à nous, et nous espérons pouvoir, à l'avenir, acquérir une meilleure compréhension afin de formuler un modèle théorique plus complet et en adéquation avec la réalité du phénomène. Bien entendu, notre théorie repose sur l'observation et la pratique, et elle est susceptible d'évoluer avec les recherches et les découvertes futures, dans l'espoir qu'elle soit un jour confirmée par des preuves tangibles. 

Définition de l’in-formation par Ernin Laszlo : (ce qui correspond donc à l’énergie subtile, pas la charge)
"Qu’est-ce que « l’in-formation » ?
Récapitulation : Ce que l’in-formation n’est pas. Elle n’a rien à voir avec l’information désignée par toute définition technique ou non technique courante. Elle n’est pas non plus de la connaissance reçue sur certains faits ou évènements, ni un scénario imposé sur un canal de transmission, pas plus que la réduction de l’incertitude concernant des choix multiples. L’information dans le sens d’une connaissance (ou intuition) des choses et des évènements pourra être transmise dans le processus de l’in-formation, mais l’in-formation elle-même diffère des définitions habituelles de l’information.
a) Le phénomène de l’in-formation est une connexion subtile, quasi instantanée, non évanescente et non énergétique entre des choses situées dans des lieux différents de l’espace, en différents points du temps. Dans le domaine des sciences naturelles, de telles connexions sont qualifiées de « non-locales ». Dans le domaine de la recherche sur la conscience humaine, elles sont « transpersonnelles » Vu leur perpétuation dans le temps, on les considère comme une forme de mémoire dans la nature ainsi que dans la communication interpersonnelle et transpersonnelle."
b) Explication du phénomène de l’in-formation. Que ce phénomène se rencontre dans la sphère de la nature ou celle de la conscience, l’explication est la même : il est la réponse du plein cosmique, connu sous l’appellation de « vide quantique », aux choses et aux évènements qui surviennent dans l’espace et le temps, et qui laissent des traces, des vestiges, c’est-à-dire « in-forment » le vide, et que ce vide in-formé influence à son tour les choses et les évènements. La « formation » subtile de choses et d’évènements par l’interaction avec le vide explique le phénomène autrement étrange et anormal de l’in-formation. Voilà en somme ce qui en est de la « théorie de l’in-formation », qui n’a absolument rien à voir avec ce que nous connaissons actuellement sous le concept de « théorie de l’information »."
in Science et Champ Akashique, tome 1 : Une Théorie Intégrale du Tout de Ervin Laszlo aux éditions Ariane, 2005.

Beaucoup de personnes se poseront la question de l'utilité de ce savoir, mais il est en réalité très important. Tout d'abord, cela permet une meilleure compréhension des phénomènes énergétiques et des entités, ainsi qu'une sensibilisation aux illusions sensorielles et aux fausses croyances remplies de biais cognitifs qui pourraient en découler. De plus, la pratique de la perception et de la maîtrise de l'Énergie, des charges diverses et de la charge structurelle permet une meilleure construction de Gardiens, Serviteurs, Égrégores et Formes-Pensées, conduisant à des résultats plus significatifs.


Au cours de ma pratique et de mes recherches, j'ai mis au point différents protocoles de création d'entités égrégoriques allant du plus simple au plus complexe pour les praticiens chevronnés, avec le protocole de niveau 1 disponible dans mon livre dans la partie pratique. Lors de la création énergétique, les premiers temps sont souvent consacrés à l'élaboration de la charge structurelle pour éviter la désagrégation partielle ou totale de l'entité pendant cette phase.


Comprendre tout cela permet également d'améliorer les techniques de soins énergétiques en repérant rapidement les désordres et en sachant quoi faire efficacement. Enfin, cela donne une meilleure compréhension de la mécanique énergétique, offrant ainsi une pratique plus saine et plus efficace des différentes disciplines, en particulier dans la défense énergétique et magique.

Pour ceux désireux d'en savoir plus, mon livre "Les Mécanismes de la Pratique Magique" est disponible, et des cours, stages et formations pour les étudiants de niveaux supérieurs seront bientôt proposés, dans lesquels je délivrerai des protocoles de création d'entités égrégoriques plus complexes.

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Sébastien G.A. Le Maôut

Sorcier ∞ Mage ∞ Occultiste

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